A la recherche de perles rares en tous genres et de toutes les époques
(Où il est question de lectures récentes mais aussi de souvenirs plus que persistants...)
jeudi 26 décembre 2013
lundi 16 septembre 2013
lundi 9 septembre 2013
Le Monde du sexe, Henry Miller (1940 aux Etats-Unis)
mercredi 4 septembre 2013
mardi 27 août 2013
mardi 6 août 2013
mercredi 3 juillet 2013
mardi 2 juillet 2013
lundi 27 mai 2013
dimanche 19 mai 2013
Ecrire, Lionel Duroy (Julliard, 2005)
Tout livre est le fruit d'un double risque : celui d'écrire et celui de publier. Lionel Duroy a peut-être poussé le second à son paroxysme.
lundi 13 mai 2013
Poésies posthumes, René Leynaud (Gallimard, 1947)
Il est des livres que l'on chérit moins pour leur contenu (même si on le respecte, et qu'on l'apprécie) que pour ce qui les entoure (son auteur, la personne qui vous l'a recommandé ou offert, le lieu ou le moment où on l'a lu...).
mardi 30 avril 2013
samedi 20 avril 2013
Le Voile noir, Anny Duperey (Seuil, 1992)
Merci à Philippe Caubère, celui qui osa mettre en scène et jouer Recouvre-le de lumière de me l'avoir fait connaître.
dimanche 24 février 2013
Bagarres, Jean Proal (Denoël, 1945)
A la sempiternelle question que
pose ce blog – comment un tel livre peut-il être aussi méconnu -, ce roman de
Jean Proal ajoute un désespérant post-scriptum : comment un tel écrivain
peut-il être cantonné dans les auteurs régionalistes ? Ou alors l’immense René
Char doit aussi être rangé dans cette catégorie.
Bagarres est une histoire intemporelle, un blues rural et
tellurique d’une force inouïe : dur, dense, direct. Brut, sans le moindre
non-dit et pourtant tout en suggestion, tout en finesse. Une œuvre tissée dans une prose poétique où les descriptions ont la violence et
la beauté de l’éclair. Un nouvel exemple de perfection littéraire, c’est-à-dire
de fusion entre fond et forme par l’écriture.
Par-delà tous les clichés potentiels de cette histoire
d’amours tragiques pour une femme fatale, Jean Proal entrelace tour à tour et
tout à la fois les deux sens du mot « aimant » : celui qui aime et l’objet
qui attire. Parfait huis clos dans une Haute-Provence qui n’est pas un simple décor mais
une force parmi d’autres, humaines ou non. Au milieu de corps faits de sang, de chair
et d’os. Avant que tout cela ne disparaisse pour redevenir poussière.
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NB : A noter toutefois le superbe travail réalisé par l'association Les amis de Jean Proal (voir leur site très complet : http://www.jeanproal.org)
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NB : A noter toutefois le superbe travail réalisé par l'association Les amis de Jean Proal (voir leur site très complet : http://www.jeanproal.org)
dimanche 6 janvier 2013
vendredi 4 janvier 2013
Post mortem, Carlos Bauverd (Phébus, 2003)
Comment parler de ce livre ?
Nous nous contenterons de dire, qu'au-delà de ce qu'il exprime (ou plutôt simultanément puisque toute écriture digne de ce nom se caractérise par l'abolition de la frontière entre fond et forme), sa manière de le faire est absolument magistrale.
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N.B. : Le titre pourrait laisser penser à une expérience de vie après la mort, alors j'indique le sous-titre qui se passe lui de commentaires ("Lettre à un père fasciste").
jeudi 3 janvier 2013
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