Froid dans le dos.
C’est immanquablement l’expression qui me vient à l’esprit chaque
fois que je pense à ce livre et plus particulièrement à sa dernière partie, sublime
suite de courts tercets dont la simplicité n’a d’égale que la noirceur :
toutes deux absolues dans leur manière de converger vers le gouffre à venir.
Leur auteur ne pouvait aller plus loin tant sa logique d’écriture
y rejoint celle de sa vie dans une cohérence nécessairement implacable. Après cela, il ne reste plus [rien de
possible] que le suicide.
Dont acte.
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